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La cartographie des feux de forêt présente les incendies forestiers ayant eu lieu principalement sur le territoire du Québec méridional, soit la zone située au sud de la limite territoriale des forêts attribuables. Ces données cartographiques permettent d’améliorer les connaissances sur les régimes de feux et de répondre aux besoins spécifiques des plans spéciaux d’aménagement à la suite de feux de forêt. Elles peuvent également être utilisées pour répondre à divers besoins d’étude et de recherche, tels que l’analyse de l’impact des changements climatiques, la modélisation de la régénération après feu et l’étude de la dynamique des écosystèmes. Ces informations sont obtenues de sources diverses et produites à partir de celles-ci, soit les images satellite, les photographies aériennes, les relevés terrain ou aériens, la datation de cicatrices de feu et les documents d’archives. Ces données contiennent quatre types de cartographie ainsi que la cartographie des régimes de feux :
• La cartographie détaillée des feux, de 1976 à aujourd’hui. Cette cartographie inclut les types de brûlis, soit le brûlis total et le brûlis partiel, lorsque l’information est disponible. À cela s'ajoute, pour les feux ayant fait l’objet de caractérisations, l’information sur les classes de patrons de brûlage. L’aire minimale de cartographie peut aller jusqu'à 0,1 ha, selon les produits sources utilisés. Cette cartographie est partiellement disponible pour les secteurs situés au nord du Québec méridional.
• La cartographie des contours simplifiés des feux, de 1972 à aujourd'hui. Cette cartographie présente les contours extérieurs des feux (sans morcellement), afin de les représenter de façon globale dans un produit facilement utilisable et intégrable dans les systèmes d'information courants, GPS ou autres. Résultant de la fusion de la cartographie détaillée des feux, ce produit a été conçu pour répondre à divers besoins de la clientèle. Cette cartographie est partiellement disponible pour les secteurs situés au nord du Québec méridional.
• La cartographie des points d'origine des feux ayant été répertoriés par les organismes de protection (p. ex. : SOPFEU) pour la période allant de 1972 à aujourd'hui. Cette cartographie inclut la date, la source d’ignition (humaine ou foudre) et la zone de protection. Elle est disponible pour l’ensemble du territoire québécois.
• La cartographie des feux anciens concernent les feux survenus entre la toute fin du 19e siècle et 1975. Cette cartographie provient des informations présentes sur les cartes forestières du premier et du deuxième inventaire, ainsi que des informations contenues sur les cartes écoforestières du troisième et du quatrième inventaire. La datation de ces feux est faite à partir de différentes méthodes, dont l’analyse d’arbres-études portant des cicatrices de feu et la consultation de documents d'archives. Ces données sont disponibles pour les régions suivantes : Saguenay-Lac-Saint-Jean (02), Bas-Saint-Laurent (01), Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine (11), Abitibi-Témiscamingue (08), Mauricie-Centre-du-Québec (04-17) et Lanaudière-Laurentides (14-15).
• La cartographie des régimes de feux du Québec méridional. Cette cartographie présente 13 zones ayant des régimes de feux distincts. Ces zones ont été délimitées à partir de l’information disponible sur les superficies brûlées au cours de la période 1890-2020 et d’autres variables environnementales potentiellement déterminantes, comme la physiographie, l’abondance de différentes espèces d’arbres connues pour leur dépendance au feu ainsi que l’emplacement des allumages naturels et anthropiques. La cartographie des régimes de feux couvre l’ensemble des territoires forestiers sous aménagement ainsi qu’une portion plus nordique qui n’est pas aménagée. La méthodologie détaillée est présentée dans le Mémoire de recherche forestière no 189 « Zonage des régimes de feux du Québec méridional » (à venir).
Ce zonage pourra être utile pour assurer une meilleure prise en compte du risque de feu dans un contexte d’aménagement forestier. Il pourra également servir d’assise territoriale pour projeter l’activité future des feux en tenant compte de différents facteurs, comme les changements climatiques, la suppression des feux ainsi que les modifications des types de combustibles et de leur répartition sur le territoire.
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Une nouvelle série de couche en lien avec la gestion du trafic est mise à disposition par l'Office cantonal des transports Cet ensemble de couche sert à la gestion de tous les équipements des carrefours à feux qui régulent le trafic des véhicules privés et des transports collectifs, mais également les piétons et les cyclistes.
Quelques chiffres pour illustrer ces données : plus de 9000 boîtes à feux tout confondu pour les voitures, piétons, cyclistes, bus ou trams, 2180 détecteurs (boutons poussoirs piéton / cycliste ou détecteurs vidéo), 3392 mâts pour maintenir le tout ! Sur un total de 359 armoires qui commande 454 carrefours, ainsi que 164 installations avec des feux clignotants pour les piétons.
Ces données servent à l'inventaire, à l'entretien et au dépannage de ces équipements. Ils servent également à prévoir et étudier toutes les modifications apportées régulièrement à ces carrefours.
Cette couche représente les boîtes à feux de manière symbologique. Chaque équipement est représenté de manière explicite. La position des objets est faite en fonction des éléments bâtis pour une représentation lisible des équipements d'un carrefour.
This file shows the counting of vehicles and pedestrians at the majority of traffic light intersections, as well as some intersections where the installation of lights was being studied. For each of these intersections, all located in the 19 boroughs, the number of vehicles and pedestrians was increased at different periods of a typical day. Counts may sometimes ignore certain users (e.g. pedestrians, cyclists, trucks). NOTE: Since 2009, surveys also include cycling. Counts were carried out as part of the fire standards. These are therefore counts from central services and do not include counting made by boroughs. This third party metadata element was translated using an automated translation tool (Amazon Translate).
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Cette carte illustre les zones d'incendies observées à partir d'images satellites Sentinel-2 couvrant des secteurs à l'ouest et à l'est des wilayas de Médéa et d'Ain Defla dérivées des images Sentinel-2 du 12 juillet 2017 et du 09 Juillet 2017. Sur l'emprise de cette carte, environ 3353 ha semblent avoir brulé, essentiellement dans les communes de Ouled Antar (1154ha) et Ouled Bouachra (854 ha) dans la wilaya de Médéa et 335ha incendiés dans la commune d'Oued Djemaa dans la wilaya d'Ain Defla. La surface totale incendiée pourrait être sous-estimée étant donné que certaines zones semblent avoir déjà subi des incendies. Ceci est une analyse préliminaire et n'a pas encore été validée sur le terrain. Ne pas hésiter à envoyer vos commentaires à UNITAR-UNOSAT.
Contours des feux de forêt de l'Hérault de 2000 à 2017
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Localisation des feux tricolores sonores. Ces feux peuvent être vocaux (le feux mentionne le nom de la rue) ou simplement sonores (bruitage)
Ensemble des zones délimitées par des contours précis présentant des feux de forêt dont la superficie est supérieure à 5 hectares. Date de Publication : 2010
The fire regime describes the patterns of fire seasonality, frequency, size, spatial continuity, intensity, type (e.g., crown or surface fire) and severity in a particular area or ecosystem. The number of large fires refers to the annual number of fires greater than 200 hectares (ha) that occur per units of 100,000 ha. It was calculated per Homogeneous Fire Regime (HFR) zones. These HFR zones represent areas where the fire regime is similar over a broad spatial scale (Boulanger et al. 2014). Such zonation is useful in identifying areas with unusual fire regimes that would have been overlooked if fires had been aggregated according to administrative and/or ecological classifications. Fire data comes from the Canadian National Fire Database covering 1959–1999 (for HFR zones building) and 1959-1995 (for model building). Multivariate Adaptive Regression Splines (MARS) modeling was used to relate monthly fire regime attributes with monthly climatic/fire-weather in each HFR zone. Future climatic data were simulated using the Canadian Earth System Model version 2 (CanESM2) and downscaled at a 10 Km resolution using ANUSPLIN for two different Representative Concentration Pathways (RCP). RCPs are different greenhouse gas concentration trajectories adopted by the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) for its fifth Assessment Report. RCP 2.6 (referred to as rapid emissions reductions) assumes that greenhouse gas concentrations peak between 2010-2020, with emissions declining thereafter. In the RCP 8.5 scenario (referred to as continued emissions increases) greenhouse gas concentrations continue to rise throughout the 21st century. Provided layer: the number of large fires (>200 ha) across Canada for a reference period (1981-2010). Reference: Boulanger, Y., Gauthier, S., et al. 2014. A refinement of models projecting future Canadian fire regimes using homogeneous fire regime zones. Canadian Journal of Forest Research 44, 365–376.
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Cette carte illustre les zones d'incendies observées à partir d'images satellitaires couvrant les wilayas de Médéa et de Blida en utilisant une différence de ratios de brûlure normalisé (NBR) dérivée des images Sentinel-2 du 29 Juin 2017 et du 19 Juillet 2017 ainsi que les foyers d'incendies détectés entre le 01 Juillet et le 19 Juillet 2017 à partir des données MODIS. Sur l'emprise de cette carte, environ 974 ha semblent avoir brulé essentiellement dans les communes d'El Hamdania (288.6 ha) et de Ouezra (288.6 ha) dans la Wilaya de Médéa et la commune de Hammam Mélouane (199.8 ha) dans la Wilaya de Blida. La surface totale incendiée pourrait être sous-estimée étant donné que certaines zones semblent avoir déjà subi des incendies. 33 foyers d'incendies ont été détectés entre le 01 et le 19 juillet 2017 sur l'étendue de la carte. Ceci est une analyse préliminaire et n'a pas encore été validée sur le terrain. Ne pas hésiter à envoyer vos commentaires à UNITAR-UNOSAT.
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Les conditions météorologiques propices aux feux de forêt font référence aux variables météorologiques qui influencent la fréquence des incendies. Elles déterminent la saison des feux, qui est définie comme une ou plus d'une période de l’année où les feux de forêt sont plus susceptibles de se déclarer, de se propager et de causer suffisamment de dégâts pour entraîner la suppression organisée des feux de forêt. La durée de la saison des feux est la différence entre les dates du début et de la fin de la saison des feux. Celles-ci sont définies par les dates de début et de fin de saison des feux de l’Indice Forêt-Météo (IFM; http://cwfis.cfs.nrcan.gc.ca/). La saison des feux commence quand il n’y a plus de neige autour de la station pendant 3 jours consécutifs et que le thermomètre indique une température d’au moins 12 °C à midi. Dans le cas des stations qui n’enregistrent pas une couverture de neige importante pendant l’hiver (soit moins de 10 cm de neige ou absence de neige pendant au moins 75 % des mois de janvier et février), la saison commence quand la température moyenne quotidienne atteint 6 °C ou plus pendant 3 jours consécutifs. La saison des feux prend fin avec l’arrivée de l’hiver, soit habituellement après 7 jours consécutifs de présence de neige. Si l’on ne dispose pas de statistiques sur la neige, la fin de la saison est déterminée après 7 jours consécutifs pendant lesquels le thermomètre a indiqué une température ne dépassant pas 5 °C à midi. Les conditions climatiques historiques proviennent des normales climatiques canadiennes couvrant 1981-2010. Les projections ont été calculées à l'aide de deux profils représentatifs d’évolution de concentration (“Representative Concentration Pathways” ou RCP). Ces RCP découlent de quatre scénarios relatifs à l’évolution de la concentration en gaz à effet de serre établis par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) dans son cinquième rapport d'évaluation. Le RCP 2.6 (appelé réduction rapide des émissions) suppose que les gaz à effet de serre atteindront leur concentration maximale au cours de la période 2010-2020 avant d’entamer leur déclin. Selon le scénario RCP 8.5 (appelé augmentation continue des émissions), la concentration en gaz à effet de serre continuera de croître tout au long du 21e siècle. Plusieurs couches de données sont fournies. Premièrement, la durée de la saison des feux au Canada au cours de la période de référence (1981-2010) est présentée. La différence dans la durée de la saison des feux projetée par rapport à la période de référence est présentée à court terme (2011-2040), moyen terme (2041-2070) et à long terme (2071-2100) selon le RCP 8.5 (augmentation continue des émissions) et, pour le long terme (2071-2100), selon le RCP 2.6 (réduction rapide des émissions).
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Cette carte illustre les zones d'incendies observées à partir d'images satellites Sentinel-2 couvrant des secteurs des wilayas de Tizi Ouzou et Boumerdès en utilisant une différence de ratios de brûlure normalisé (NBR) dérivée des images Sentinel-2 du 29 Juin 2017 et du 09 Juillet 2017 ainsi que les foyers d'incendies détectés entre le 01 Juillet et le 13 Juillet 2017 à partir des données MODIS. Sur l'emprise de cette carte, environ 113ha de zones végétalisées semblent brûlées principalement des zones forestières. 35 foyers incendiés ont été détectés durant cette période. Ceci est une analyse préliminaire et n'a pas encore été validée sur le terrain. Ne pas hésiter à envoyer vos commentaires à UNITAR-UNOSAT.
Atlas des risques des feux de forêt dans le département Charente Maritime_ cartographie des zones de risque feux de forêt_1:25000
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Cette carte illustre les zones d'incendies observées à partir d'images satellitaires couvrant les secteurs des wilayas de Tizi Ouzou et de Bejaia en utilisant une différence de ratios de brûlure normalisé (NBR) dérivée des images Sentinel-2 du 29 Juin 2017 et du 19 Juillet 2017 ainsi que les foyers d'incendies détectés entre le 01 Juillet et le 19 Juillet 2017 à partir des données MODIS. Sur l'emprise de cette carte, environ 1.106 ha semblent avoir brulé essentiellement dans les communes de Ifigha (230 ha), Yakourene (188 ha), et Idjeur (179 ha) dans la wilaya de Tizi Ouzou et dans la commune de Akfadou (163 ha) dans la wilaya de Bejaia. La surface totale incendiée pourrait être sous-estimée étant donné que certaines zones semblent avoir déjà subi des incendies. Ceci est une analyse préliminaire et n'a pas encore été validée sur le terrain. Ne pas hésiter à envoyer vos commentaires à UNITAR-UNOSAT.
This two-page fact sheet provides information on how to prepare for the possibility of a wildfire, and what to do during and after a wildfire.
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Localisation des feux sonores
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Dictionnaire Public Bordeaux Métropole est propriétaire d'un réseau de carrefours à feux sur son territoire. Ce jeu de données représente par un ponctuel la localisation de ces carrefours. Il fournit une information sur l'identifiant du carrefour, s'il est géré en local, par tétra ou s'il est centralisé, sur le type d'équipement concerné (Trafic, Trafic tram, Panneau à message variable, Feu clignotant ...) et indique si les plans qui lui sont associés sont conformes à notre charte graphique de fichiers DAO. Ce jeu de données est disponible dans un format additionnel : Téléchargement au format AutoCAD DWG
Create your own initiative by combining existing applications with a custom site. Use this initiative to form teams around a problem and invite your community to participate.
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Le réchauffement climatique peut entraîner une augmentation du nombre et de la gravitées incendies. Cette carte présente l'évolution de la gravité des incendies de forêt à travers le Canada de 2090 à 2099 en se fondant sur des Modèles de circulation générale (MCG). L'indice de gravité saisonnier (IGD) est une mesure des risques d'incendies de forêt sur une saison complète. L'IGD est calculé en faisant la moyenne des valeurs journalières pour toute la durée de la saison. L'échelle de valeur est relative, un indice de plus de 6 indique un danger extrême. Un indice de 0 est possible uniquement dans les régions froides où il n'y a aucun risque d'incendie au cours de l'été.
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La cartographie des feux de forêt présente les incendies forestiers ayant eu lieu principalement sur le territoire du Québec méridional, soit la zone située au sud de la limite territoriale des forêts attribuables. Ces données cartographiques permettent d’améliorer les connaissances sur les régimes de feux et de répondre aux besoins spécifiques des plans spéciaux d’aménagement à la suite de feux de forêt. Elles peuvent également être utilisées pour répondre à divers besoins d’étude et de recherche, tels que l’analyse de l’impact des changements climatiques, la modélisation de la régénération après feu et l’étude de la dynamique des écosystèmes. Ces informations sont obtenues de sources diverses et produites à partir de celles-ci, soit les images satellite, les photographies aériennes, les relevés terrain ou aériens, la datation de cicatrices de feu et les documents d’archives. Ces données contiennent quatre types de cartographie ainsi que la cartographie des régimes de feux :
• La cartographie détaillée des feux, de 1976 à aujourd’hui. Cette cartographie inclut les types de brûlis, soit le brûlis total et le brûlis partiel, lorsque l’information est disponible. À cela s'ajoute, pour les feux ayant fait l’objet de caractérisations, l’information sur les classes de patrons de brûlage. L’aire minimale de cartographie peut aller jusqu'à 0,1 ha, selon les produits sources utilisés. Cette cartographie est partiellement disponible pour les secteurs situés au nord du Québec méridional.
• La cartographie des contours simplifiés des feux, de 1972 à aujourd'hui. Cette cartographie présente les contours extérieurs des feux (sans morcellement), afin de les représenter de façon globale dans un produit facilement utilisable et intégrable dans les systèmes d'information courants, GPS ou autres. Résultant de la fusion de la cartographie détaillée des feux, ce produit a été conçu pour répondre à divers besoins de la clientèle. Cette cartographie est partiellement disponible pour les secteurs situés au nord du Québec méridional.
• La cartographie des points d'origine des feux ayant été répertoriés par les organismes de protection (p. ex. : SOPFEU) pour la période allant de 1972 à aujourd'hui. Cette cartographie inclut la date, la source d’ignition (humaine ou foudre) et la zone de protection. Elle est disponible pour l’ensemble du territoire québécois.
• La cartographie des feux anciens concernent les feux survenus entre la toute fin du 19e siècle et 1975. Cette cartographie provient des informations présentes sur les cartes forestières du premier et du deuxième inventaire, ainsi que des informations contenues sur les cartes écoforestières du troisième et du quatrième inventaire. La datation de ces feux est faite à partir de différentes méthodes, dont l’analyse d’arbres-études portant des cicatrices de feu et la consultation de documents d'archives. Ces données sont disponibles pour les régions suivantes : Saguenay-Lac-Saint-Jean (02), Bas-Saint-Laurent (01), Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine (11), Abitibi-Témiscamingue (08), Mauricie-Centre-du-Québec (04-17) et Lanaudière-Laurentides (14-15).
• La cartographie des régimes de feux du Québec méridional. Cette cartographie présente 13 zones ayant des régimes de feux distincts. Ces zones ont été délimitées à partir de l’information disponible sur les superficies brûlées au cours de la période 1890-2020 et d’autres variables environnementales potentiellement déterminantes, comme la physiographie, l’abondance de différentes espèces d’arbres connues pour leur dépendance au feu ainsi que l’emplacement des allumages naturels et anthropiques. La cartographie des régimes de feux couvre l’ensemble des territoires forestiers sous aménagement ainsi qu’une portion plus nordique qui n’est pas aménagée. La méthodologie détaillée est présentée dans le Mémoire de recherche forestière no 189 « Zonage des régimes de feux du Québec méridional » (à venir).
Ce zonage pourra être utile pour assurer une meilleure prise en compte du risque de feu dans un contexte d’aménagement forestier. Il pourra également servir d’assise territoriale pour projeter l’activité future des feux en tenant compte de différents facteurs, comme les changements climatiques, la suppression des feux ainsi que les modifications des types de combustibles et de leur répartition sur le territoire.